Une tradition ancestrale solidement implantée dans diverses civilisations.

Dans l’antiquité grecque et latine, les exemples sont nombreux. La conversion de l’Europe au christianisme fait délaisser la crémation dans de nombreux pays. Longtemps pratiquée en France, elle est presque complètement abandonnée vers le IVe siècle. Elle renaît à la fin du XIXe siècle, portée par différents mouvements. Elle est légalisée en 1889.
C’est à cette date qu’est érigé le crématorium du Père Lachaise à Paris, le plus ancien de France.

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Elle permet la transformation décente des dépouilles mortelles en cendres au moyen d’équipements spécialement conçus à cet effet appelés « crématorium ».
Le corps, obligatoirement placé dans un cercueil, est introduit dans un appareil de crémation préalablement chauffé à une température d’environ  800°C.
Sous l’effet de la chaleur intense (et non de flammes), l’autocombustion du corps et du cercueil dure environ 1 h 30, à l’issue de laquelle l’opérateur rassemble les calcius ; une fois refroidis ceux-ci sont réduits en cendres. Les cendres sont ensuite soit recueillies dans l’urne prévue à cet effet, soit placées dans le récipient de dispersion.

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Equipé de 2 appareils de crémation, le crématorium Grand Littoral peut recevoir des cercueils de grandes dimensions. Le système de filtration des fumées accouplé aux appareils de crémation permet une grande maîtrise des rejets atmosphériques.
Un contrôle quotidien des installations et de l’équipement par nos collaborateurs et les techniciens en charge de la maintenance fait que les opérations se déroulent avec le respect que mérite chaque être humain.

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